Depuis plus d’un an, les Français sont confrontés à une inflation galopante : envol des prix du carburant, de l’énergie, des produits alimentaires… Si une décélération s’amorce en cette fin d’année, les Français devront sans nul doute patienter plusieurs mois avant de voir une amélioration de leur pouvoir d’achat. 

Quel impact cette situation aura t’elle sur Noël 2023 ? 

Les Français achèteront-ils moins de cadeaux, réduiront-ils leur budget ou vont-ils étaler davantage leurs achats ? Feront-ils des arbitrages entre les symboles forts de Noël – bûche, sapin, foie gras… Sont-ils davantage stressés que les années précédentes ? Magasin ou internet, quel canal privilégieront-ils ? 

Autone, la startup qui disrupte et réinvente l’optimisation des stocks, a réalisé avec OpinionWay une étude mettant en lumière la façon dont les Français abordent Noël dans cette période inédite. Et le constat est clair : s’ils ne comptent pas renoncer à Noël, la hausse des prix va clairement affecter leur manière de célébrer les fêtes de fin d'année.

• 6 Français sur 10 (61%) estiment que leurs dépenses de Noël seront fortement impactées par la hausse des prix.

• 64% comptent revoir leurs habitudes pour réaliser des économies, notamment acheter des cadeaux moins chers (67%, +11 pts), réduire le budget cadeaux des adultes (66%), faire des repas plus économiques (61%, +9 pts) voire ne pas acheter de sapin (49%, +4 pts).

• 39% des Français préféreraient ne pas fêter Noël cette année en raison de la hausse des prix. Un chiffre qui monte à 50% chez les 35-49 ans

• Plus d’1 Français sur 2 (54%) stresse en raison du budget à dépenser pour ses cadeaux de Noël (+7 pts vs 2021).

• Les Français prévoient de dépenser en moyenne 304€ pour leurs cadeaux de Noël (+8% vs 2021), répartis de manière homogène entre magasins et e-commerce.

• Plus de la moitié des Français prévoit de réduire ses dépenses d’habillement (55%), de sorties (55%) ou de vacances (50%) afin financer ses cadeaux de Noël.

• 1 Français sur 5 serait prêt à sacrifier sa belle-mère s’il devait supprimer un cadeau en raison de la hausse des prix, juste derrière les neveux et nièces (22%) et les parrains/marraines (30%).